Suivez l'actualité et les sorties de l'association sur le nouveau site internet
A la Rencontre du Petit Patrimoine Picard
Suivez l'actualité et les sorties de l'association sur le nouveau site internet
BULLETIN D’ADHESION ET D’ABONNEMENT
Adhésion à l’association A la rencontre du petit patrimoine picard pour l’année 2015
Adhérent 1
NOM : Prénom : 15€
Adresse :
email :
Adhérent 2
NOM : Prénom : 15€
email :
Adhérent 3
NOM : Prénom : 15€
email :
Abonnement à la revue les cahiers du petit patrimoine picard pour l’année 2015 (2 numéros)
Si adhérent à l’association (la revue sera envoyée à l’adresse de l’adhérent 1) 20€
Si non adhérent (indiquer l’adresse où doit être envoyée la revue) 30€
NOM : Prénom :
Adresse :
email :
RECAPITULATIF
Adhésion 1 personne + 1 Abonnement 35€
Adhésion 2 personnes + 1 Abonnement 50€
Adhésion 3 personnes + 1 Abonnement 65€
Adhésion 1 personne, sans abonnement 15€
1 Abonnement non adhérent 30€
Total = €
Règlement à effectuer par chèque bancaire à l’ordre de : A la rencontre du petit patrimoine picard
A la rencontre du petit patrimoine picard
ASSOCIATION LOI 1901
Nous avons le plaisir de vous convier à la prochaine Assemblée Générale
qui se tiendra le :
Samedi 17 Janvier 2015
à partir de 9H30
Salle Robida - 61, rue Saint-Fuscien – AMIENS
9h30 : Ouverture des travaux :
- Rapport d’activité de l’année écoulée
- Rapport de trésorerie
- Le programme des sorties 2015
- Point sur la revue
- Les élections
- Questions/infos diverses
12h30 : Repas au restaurant « Croqu’Ines » Rue Jules Barni
14h30 à 17h00 : Les conférences du Petit Patrimoine Picard
(Salle Robida - 61, rue Saint-Fuscien 80000 Amiens)
Bruno BREART « les hortillonnages »
Suivi du petit café d’au revoir
Une promenade le long du chemin de halage est prévue le 30 mai 2015 avec Bruno Bréart.
GUISE
Les vestiges du château fort et le Familistère
Rendez-vous : 7h15 sur le parking de Géant d’Amiens- Glisy. Départ en car à 7h30
PROGRAMME DE LA JOURNÉE :
9 h15 : accueil café à la buvette du Familistère
10 h 00 : visite guidée du Château Fort
12 h 00 : déjeuner au restaurant « Le Jardin »
14 h 30 : visite guidée du Familistère
15 h 30 : visite libre des espaces muséographiques
Sur le retour, arrêt à Fonsomme, à la source de la Somme
Arrivée à Amiens (parking de Géant) vers 19 heures
Quelques infos.....
LE CHÂTEAU FORT DE GUISE
Le château de Guise est un ancien château fort construit au Xème siècle, appartenant à la famille de
Guise, vassale des comtes de Vermandois.
Transformé en citadelle au XVIème siècle, le château devient forteresse royale, remanié par Vauban.
En 1767, le donjon, construit de 951 à 1056, est restitué à Louis-Joseph de Bourbon, Prince de Condé.
La Première Guerre mondiale va causer d'importantes destructions.
En 1914, de violents combats ont lieu entre les Allemands et les Français.
En 1918, les Français reprennent la ville, leur artillerie pilonne le château et le détruit considérablement.
Il ne reste que le donjon et l'enceinte.
Les vestiges du château de Guise, sont aujourd'hui propriétés de la ville de Guise.
Depuis 1952, le Club du vieux Manoir en assure la restauration, l'entretien, l'ouverture au public.
La visite du château fort de Guise comprend : le donjon, l'enceinte fortifiée, les bastions, des
casemates d'artillerie, le musée archéologique, les souterrains de contre-mine, les grands celliers.
Le château est classé depuis le 31 juillet 2008.
LE FAMILISTÈRE
Jean-Baptiste André Godin (1817-1888), fils d'un artisan serrurier, fonde en 1840, une entreprise d'appareil de chauffage et de cuisine, les fameux poêle « Godin », dont il est l'inventeur et qui aujourd'hui garde son nom;
Ces appareils ont permis à Godin, d'origine modeste, de faire rapidement fortune et de s'imposer sur un marché en pleine expansion.
En 1842, il découvre la pensée de Charles Fourier (1772-1837) dans un article publié par le « Guetteur », journal de Saint-Quentin. Par l'intermédiaire de l'école Sociétaire et de son chef Victor Considérant, Godin va prendre connaissance de l'oeuvre de Fourier. Il devient un fervent adepte de la théorie de Fourier et décide de consacrer sa fortune à la propagande des idées de celui-ci.
A partir de 1858 jusqu'en 1883, il fait construire pour ses ouvriers et leurs familles des bâtiments d'habitation dans un terrain de 6 ha, traversé par l'Oise.
L'ensemble des bâtiments couvre environ 20 ha, on y trouve d'une part l'usine et ses dépendances, et d'autre part les différents bâtiments du Familistère, immeubles d'habitation, école et théâtre, économat et divers services ainsi que les terrains environnants aménagés en parc ou en jardins.
Il fut Maire de Guise et de 1871 à 1876 et député de l'Aisne. .
En 1886, deux ans avant sa mort, il épouse sa collaboratrice, Marie Moret, fille de son cousin. Il meurt en 1888, et est enterré dans les jardins du Familistère.
La société qu'il a fondée existe encore aujourd'hui. L'association coopérative qui l'a détenait a été
dissoute en 1968. Son activité a été racheté par la Société « Le Creuset » et fait partie maintenant
du groupe « cheminée Philippe ».
Le Familistère a cessé de fonctionner à la même époque, mais les bâtiments sont toujours utilisés à des fins d'habitation et ont été classés au Patrimoine en 1991.
Le Familistère est devenu un musée ainsi que toutes les installations de vie sociale.
(cliquer pour voir des photos)
La source de la Somme se situe au nord du hameau de Fonsommes dont le nom signifie « Fontaine » (source) de la Somme, à seulement 85 m d’altitude. Au pied du muret protégeant le talus crayeux, l’eau sort de la roche en filets limpides. Elle se rassemble dans le bassin aménagé au premier plan avant de s’écouler vers la mer qu’elle atteint après un parcours de 200 km. La Somme naît de la venue à l’air libre des eaux souterraines contenues dans la craie qui constitue le plateau situé vers l’arrière-plan. L’eau des précipitations qui n’est ni évaporée ni transpirée par la végétation s’infiltre dans cette roche perméable, car très fissurée. Elle descend à plusieurs dizaines de mètres sous la surface du plateau jusqu’à ce qu’elle se trouve arrêtée par une couche marneuse imperméable. L’eau imbibe toute la partie inférieure de la couche crayeuse y constituant une « nappe libre » (anciennement : nappe phréatique). Elle s’écoule transversalement, d’une fissure à l’autre, en direction des vallées qui, entaillant profondément la surface des plateaux, recoupent la nappe. Ce recoupement permet à l’eau de sortir là où la craie est la plus fissurée, constituant une source. Tout au long de son parcours, la Somme se trouve renforcée par de nombreuses sources qui, soit l’alimentent directement, soit alimentent ses affluents. L’eau écoulée par la Somme vient presque entièrement des eaux souterraines de la nappe libre de la craie. L’apport direct par ruissellement à la surface du sol est infime en raison de la modestie de la plupart des pentes du bassin versant, de la perméabilité du sol limoneux et du sous-sol crayeux, de la rareté des précipitations intenses.
Emmanuel Désiré. (source http://crdp.ac-amiens.fr/idp/croix-fonsommes-02-source-de-la-somme-idfidp/)
Un peu de lecture sur la Somme et sa source :
par Madame Monique Séverin - texte lu par Luc Loiseleux. |
Vendredi 19 novembre 2010 |
Album photos : cliquez ici
Vendredi 21 mars, Anne Martelle nous propose deux ouvrages : « Découverte de l’archéologie aérienne » du détective du ciel Roger Agache et « Les rudes étapes » de Xavier Becquet sur Victor Autier, médecin des laissés-pour-compte.
On connaissait Victorine Autier, on ignorait tout de son père. Xavier Becquet répare cette injustice et consacre un livre à Victor Autier, médecin des laissés-pour-compte. L'auteur rend hommage à ses idées républicaines en ces temps de Second Empire qui écrase sous un talon de fer jusqu’à l’idée de liberté, à son combat contre le choléra qui frappe quatre fois Amiens en un demi-siècle ou encore à son action en faveur des pauvres de Renancourt, de Saint-Jacques, de Montières, quartiers amiénois qui concentrent toute la misère du monde.
Il faut écouter à partir de 5'13'' pour entendre parler des Rudes étapes (mais, avant, c'est intéressant aussi !).
Prochaine étape: le salon du livre de la ville d'Eu, le 17 mai.
Sortie du 5 avril
Albert et ses environs
PROGRAMME DE LA JOURNÉE :
10h00 : ALBERT
- Accueil et visite guidée de la Basilique par l'abbé Joël Dulin
11h00 : - Visite guidée du « musée Somme 1916 »
12h30 : déjeuner au « restaurant de la Basilique »
à Albert
15h00 : AUTHUILLE
- Rendez-vous devant l'église d’Authuille
- Visite guidée de l'église Saint-Furcy et du village reconstruit
- Visite commentée de Thiepval et du centre d'accueil et
d'interprétation
ALBERT
La ville d'Albert s'est appelée Ancre jusqu'au 17ème siècle.
Érigée en marquisat en 1570, la seigneurie fut achetée en 1610 par Concino Concini
devenu maréchal d'Ancre.
Après sa mort, ses biens furent attribués par Louis XIII à Charles d'Albert, duc de Luynes, qui donna à la ville son nom de famille.
Après la découverte au XIème siècle d'une statue de la Vierge par un berger, la ville devint le but d'un important pèlerinage marial, encore honoré de nos jours.
De 1914 à 1918, Albert fut le centre d'une gigantesque bataille et subit de graves dommages.
LA BASILIQUE NOTRE-DAME DE BREBIERES
Elle fut édifiée de 1885 à 1897 par le picard Edmond Duthoit, architecte et orientaliste.
De style néo-byzantin elle fut reconstruite après 1930 par le fils d'Edmond, Louis Duthoit.
La basilique est coiffée d'un dôme surmonté d'une Vierge à l'enfant dorée, Notre-Dame de Brebières.
LE MUSEE SOMME 1916
Le musée retrace la vie des soldats dans les tranchées, lors de l'offensive du 1er juillet 1916.
Une quinzaine d'alcôves ou abris ainsi que des vitrines, où le quotidien des soldats a été reconstitué, sont installées dans un souterrain de 230 m, a 10 m de profondeur, utilisé comme abri anti-aérien pour la population lors de la Seconde Guerre Mondiale.
Ouvert depuis 1992, sont exposés, dans la galerie, des armes et équipements militaires ainsi que des affiches, articles de journaux et photos.
AUTHUILLE
Située dans la vallée de l’Ancre, à 5 km 500 d'Albert, le village a été complètement détruit pendant la guerre 1914-1918.
ÉGLISE SAINT-FURCY
De style moderne, elle fut reconstruite de 1932 à 1934, sur les plans de l'architecte Rigaud.
Les vitraux sont de Gérard Ansart et l'atelier Darquet.
Le mobilier a été dessiné par Pierre Ansart architecte décorateur amiénois et père de Gérard Ansart. Pierre Ansart est également l'auteur de l'autel décoré de sgraffiti.
Au VIIème siècle, Fursy (saint Fursy) moine Irlandais, se rendant à Péronne, aurait guéri à Authuille un possédé païen qui se serait converti au christianisme. En souvenir de ce pieux événement, l'église porta le nom de saint-Furcy.
THIEPVAL
C’est un village situé au nord d'Albert à la limite de la Picardie et de l'Artois.
Thiepval a été l'un des principaux théâtres de la Bataille de la Somme.
Le village transformé en forteresse la «redoute Schwaben » par les Allemands au cours de la Première Guerre Mondiale, pouvait recevoir 500 officiers et 10 000 hommes de troupe et était parcouru par 25 rues.
Ayant perdu 58 000 soldats dont 20 000 tués, la Grande-Bretagne y connut la plus grande tragédie militaire de son existence.
Les combats pour la prise de Thiepval, commencés le 1er juillet 1916 se termineront le 26 septembre 1916.
LE MEMORIAL franco-britanniquequi s’élève à 45 m de hauteur, inauguré en 1932, constitue le plus important des mémoriaux britanniques au monde.
C'est l'œuvre de l'architecte Sir Edwin Lutyens.
La tour d'Ulster appelée Tour de Belfast, inaugurée en 1921 est la réplique d'une tour située dans le parc de Clandeboye près de Belfast.
La tour est le mémorial de tous les soldats des bataillons d'Ulster pendant la Première Guerre Mondiale.
La sucrerie de Francières
Midi en France - FR3 - 11 mars 2014
La cité des bateliers
Midi en France Fr3
Emission "Midi en france" Fr3
Le site de la Tour Roland à Lassigny
FR pour l'émission "Midi en France"